Rappel historique:
Le mercredi 22 Juillet 1953 à 10h20, la Monique quitte le quai de caboteurs à Nouméa pour effectuer une rotation sur les Loyauté, dans le cadre du service subventionné de îles. Le navire fais escale respectivement à Maré, Lifou et Ouvéa. Puis, le 29 Juillet au soir, il entame son voyage de retour en passant par Xepenehe d'où il repart le lendemain en direction de Tadine.
Le vendredi 31 juillet dans l'après-midi, la Monique lève l'ancre de Tadine, à destination de Nouméa avec cent vingt-six (126) personne à son bord.
Le temps est calme, le navire est très chargé. Dans la nuit, la Monique et es passagers disparaissent entre Maré et la Grande Terre.
Comme l’écrivent 𝙇𝙤𝙪𝙞𝙨-𝙅𝙤𝙨é 𝘽𝙖𝙧𝙗𝙖𝙣ç𝙤𝙣 et 𝘼𝙡𝙖𝙞𝙣 𝙇𝙚 𝘽𝙧𝙚ü𝙨 : "𝘕𝘢î𝘵 𝘢𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘭𝘦 𝘮𝘺𝘴𝘵è𝘳𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘳𝘵è𝘨𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘨𝘳𝘪𝘯𝘴, 𝘥𝘦 𝘥𝘰𝘶𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴, 𝘥’𝘪𝘯𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳é𝘩𝘦𝘯𝘴𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘭è𝘳𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘯𝘶𝘦𝘴. 𝘓𝘢 𝘥𝘪𝘴𝘱𝘢𝘳𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘔𝘰𝘯𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘦𝘴𝘵 𝘣𝘪𝘦𝘯 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘲𝘶’𝘶𝘯 é𝘷é𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘮𝘢𝘳𝘪𝘵𝘪𝘮𝘦, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘨é𝘥𝘪𝘦 𝘧𝘢𝘮𝘪𝘭𝘪𝘢𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘩𝘶𝘮𝘢𝘪𝘯𝘦, 𝘶𝘯𝘦 𝘣𝘭𝘦𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘢𝘨é𝘦 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘒𝘢𝘯𝘢𝘬 𝘦𝘵 𝘊𝘢𝘭é𝘥𝘰𝘯𝘪𝘦𝘯𝘴, 𝘶𝘯 é𝘱𝘪𝘴𝘰𝘥𝘦 𝘧𝘰𝘯𝘥𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘩𝘪𝘴𝘵𝘰𝘪𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘶𝘯𝘦".
La semaine du 24 au 30 juillet sur l'île de Lifou, la commémoration des 70 ans de la Monique se fera sur plusieurs lieux sur l'île.